Le démontage du safran pour changer ses bagues a permis de détecter un problème plus grave, une désolidarisation de celui-ci et de sa méche. Impossible de partir l'esprit léger dans ces conditions là, pour une transatlantique. La décision a été prise d'en faire fabriquer un nouveau, en résine cette fois.
En conséquence l'appareillage est retardé à mercredi prochain. 
L'équipage en profite pour apprendre le bateau, pour le ranger et lui faire une beauté.
Le picnic, le bain et la sieste sur la plage permettent de supporter la très forte chaleur du milieu de la journée et de compenser les effets du décalage horaire, le rhum aussi !
Un peu de tourisme d'ailleurs avec une visite de rhumerie est prévue durant le week end.
Les supermarchés n'ont plus de secret pour Amélie qui prépare l'avitaillement (photos en PJ)
Marc, fin bricoleur, reprend tous les petits défauts en trouvant les petites pièces manquantes. Enguerrand commence à voir le bout du tunnel avec son téléphone satellite. 
Eric surveille la réfection de la barre et du safran. Il en a perdu sa voix (un peu le sommeil également) et cherche un sifflet de bosco.